Test > Oakley EVZero Stride Prizm, les lunettes qui s’oublient…

Des lunettes de soleil, cela reste des lunettes. Effectivement, mais la Oakley Evzero Stride Prizm semble vouloir réinventer en quelque sorte le genre.

Contrairement aux autres modèles phares de la compagnie américaine, il est cette fois-ci impossible de changer les verres en fonction des conditions. Est-ce vraiment un défaut? Si vous êtes dans l’obscurité, ces lunettes ne seront plus optimales, mais dans les différentes conditions de lumières, la fameuse technologie Prizm a comme avantage de saturer les couleurs. On ne sait pas réellement comment cela est possible, mais tout cela donne l’impression de mieux distinguer les différents objets.

Mais l’intérêt de la Evzero n’est pas réellement là. Le verre remplace la monture, cela permet d’offrir une lunette incroyablement légère, mais cela ne s’arrète pas là. Le verre étant en quelque sorte flexible, la lunette s’ajuste en fonction de votre tête. En fin de compte, c’est comme un serre-tête. L’ajustement est parfait et avec son poids plume, la lunette vient tout simplement s’oublier.

L’absence de cadre a aussi permis à Oakley de surdimensionner le verre. Cela permet de ne plus voir les limites des verres dans votre champs visuel. 

Esthétiquement, la lunette à un certain coté rétro futuriste. Dans notre cas, la seule critique n’en est pas réellement une, mais pour ceux qui ont besoin d’une prescription, impossible de profiter de tous ces avantages. 

La EVZero Stride Prizm est vendue 159 euros. 

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