Marathon de New York > Un début difficile pour Simon Bairu

Simon Bairu, de Régina, aux championnats canadien de cross-country. Source : Rob O'Flanagan/Guelph Mercury
Simon Bairu, de Régina, aux championnats canadien de cross-country. Source : Rob O'Flanagan/Guelph Mercury

Trimes vous parlait récemment de ton nouvel héro canadien de marathon.  Simon Bairu est allé chercher le Starbucks à 3 miles de la ligne d’arrivée lors du New York City Marathon.  En théorie Bairu possède touts les attributs nécessaires pour bien réussir à la distance reine:

  • Physique type de l’Afrique de l’est
  • Disciple du Oregon Project
  • Âge parfait (27 ans)
  • Coaché par Salazar
  • Champion de cross-country
  • 10 000 m en 27 minutes et des poussières
  • Plusieurs semaines d’entraînement à 190 Km sans blessures
  • Sceau d’approbation Trimes.org.  Quoi de mieu?

Les astres étaient pourtant bien alignées pour Bairu lors son baptême par le feu. Alors, que c’est il passé?  Trimes croit que Bairu avait les yeux plus grand que la pense.  Au lieu de terminer son premier marathon international dans le top 15, Bairu visait le top 5.  En voulant suivre le rythme des lapins (à 4 min. 29 le mile!) plutôt que suivre son rythme prédéterminé en entraînement (seulement 4 min. 59 le mile!) il s’est butté au fameux « mur » en répliquant à une attaque.  Résultat?  DNF (Did Not Finish).

A few miles from finishing his first try at the 26.2-mile gauntlet, the most promising Canadian runner of his generation was occupying the top 10 of one of the world’s great foot races. But something wasn’t right. Bairu had begun to feel it a couple of miles back, first a left-to-right wobble in his stride, then a bout of light-headedness. That’s when he began to realize that he was on a collision course with what marathoners know as “the wall,” the bottom of the body’s gas tank, and the end of the road of competitive excellence.

Source et article intégral : The Toronto Star