11 commentaires
  1. Nous sommes descendu 5 gars de Magog. C’est le plus beau et le plus difficile demi IM que j’ai fait en 22 ans de tri. S’il y a un tri qu’on doit faire dans une carrière de tri, c’est Savageman. Puis si le dicton est  »complete an IM and brag the rest of your life », bien une personne peut se permettre de  »bragger » le reste de sa vie après Savageman. Pis ce n’est pas le mur qui est difficile, c’est le reste du parcours de vélo!!!!!!

    1. Je seconde Roger. C’était ma première expérience de Savageman cette année et c’est le plus beau et le plus difficle demi-ironman que j’ai fait. Le parcours de vélo est incroyable et le 31% n’est que le début des montés qui vont se succéder jusqu’à la fin! Une course à faire au moins une fois. J’y retourne l’année prochaine.

  2. Vous remarquerez qu’ils sont organisés. A chaque chute, tu as deux gars sur toi, un pour prendre le vélo et l’amener au dessus, et l’autre pour t’aider a te relever. Tu n’as qu’une seule chance. Mais franchement, c’est le plus « facile », c’est le reste qui tue 🙂

    Deux choses que la vidéo ne rend pas : la pente, c’est plus que ce que l’on « voit », il faut avoir son nez dessus pour se rendre compte. Ensuite, c’est le niveau de décibel. C’est tellement bruyant, mes oreilles sifflaient…

    Bon, on attend une forte délégation québecoises en 2013 !

    1. A chaque chute tu vois que le gars est un peu en retard :p

      Savageman pour moi, c’est la preuve vivante que les organisateurs manquent souvent l’opportunité d’avoir un moment « distinct », c’est un peu comme roth avec leur cote. Tremblant a aussi ca. l’arrivée est assez speciale. et la fin de la boucle….