Alors que l’évolution des dérailleurs électriques semble s’instaurer, il ne faut pas oublier qu’un dérailleur à câble peut aussi offrir des avantages, soit son poids et sa fiabilité. Enfin pour ce deuxième critère, c’est plus discutable, il en demeure que nos dérailleurs avec des câbles bien ajustés et aussi entretenus marchent très bien. Il suffit de se rendre compte que certains pro du protour demeurent réfractaire à s’électrifier.
La problématique des câbles est avant tout le temps. Ceux en acier finissent par se détendre, rouiller et perdre leur propriété anti-friction avec les gaines. Lorsque des vitesses sautent ou ne passent plus, c’est généralement les cables et non les dérailleurs qui sont fautifs.
PowerCordz s’est spécialisé dans les câbles en plastique. Sur papier, ils ne rouillent pas et ne se détendent pas. C’est accessoirement la solution la plus légère. Ils viennent récemment de sortir leur propre système câbles et gaines qui sont des bagues en aluminium. Nokon et le I-link de Alligator ont popularisé cette technique pour les gaines. Le très grand avantage de cette solution réside dans sa flexibilité, cela est particulièrement pratique pour la câblage des aérobarres.
Trimes est donc sur le point de les essayer. On vous redonnera des nouvelles prochainement, pour le moment… on s’amuse à enfiler les bagues…
J’ai passé commande par curiosité, il y a quelques semaines d’une paire de câbles en « plastique ». Paquet reçu, mais toujours pas eut le temps de l’installer!
C’est sûr que c’est plus lèger, pour le reste … On verra ça après installation!
Je viens de les installer.
1. C’est très simple, même plus facile que des cables traditionnelles… tu peux garder plus de liner et ajuster le nombre de bagues apres.
2. C’est vraiment vraiment léger.
3. Les cables en plastique, c’est un bonheur a récupérer dans les cadres! Tellement plus simple que ceux en acier. Cela m’a pris 20s dans un P3.