Le livre des deux frangins du Yorkshire est sorti hier en version anglaise. Si vous êtes aussi impatient que nous, il est possible de se procurer une version électronique. Malheureusement, si vous attendez une version francaise, vous risquez d’attendre fort longtemps…
Et ce livre cela donne quoi? Contrairement aux livre de Macca et Crowie, on est dans une littérature ou il faut lire entre les lignes pour finalement comprendre les liens entre les deux frères et surtout la recette de leurs succès. Le langage est clair et personnel, sans tomber dans l’anecdote trop poussée, ils nous parlent de leur événements déclencheurs dans leurs passions pour le sport.
Le livre est parfois difficile à suivre parce qu’il ne suit pas un ordre chronologique, mais les deux frères abordent autant de sujets pour le participatif que celui qui est dans le secret de l’ITU.
Cet ouvrage n’est pas une collection de conseils pour le triathlète mais plus un hommage face à leur amour du sport. On n’a jamais cette impression qu’ils sont dans l’exercice de relation publique. Au contraire, ils corresponds très bien aux personnages discrets qui préfèrent bouger que parler et qui ne veulent pas quitter le Yorkshire.
Ce qui rendra ce livre une lecture obligatoire pour nos jeunes qui veulent vraiment s’investir dans leur sport, c’est l’énoncé des différentes pièces qui leurs permettent de ré-écrire l’histoire du triathlon. Ils ont ces fameuses caractéristiques que l’ont retrouve très souvent chez nos champions soient un amour pour se challenger perpétuellement et donc de se dépasser.
Et même si cela n’est jamais clairement énoncé, ont comprend rapidement leurs motivations qui se retrouvent dans cette liberté qu’offre le sport et leur fierté à être les meilleurs.
Ils ont eu la chance de faire les bonnes rencontres et d’avoir des coachs qui ont cette fameuse bonne vision du sport, soit de toujours apprécier tous les moments du processus. Avec une pratique omniprésente du sport dès le plus jeune age, on se rend compte que l’équation est assez simple et pourtant trop rarement appliquée.
Il en demeurre que les Brownlees ont cette dualité en eux qui poussent les deux frères à toujours vouloir gagner (et avec facilité!). Ce livre risque d’influencer beaucoup d’acteurs dans les prochaines années.
On doit avouer que chez Trimes.org, on a toujours aimé les Brownlee et ce livre nous poussent à les apprécier encore plus puisqu’ils suivent la bonne ligne et cela n’avait pas été le cas avec le livre de Macca et de Crowie.
On vous en reparlera plus longuement du livre prochainement.
Commentaire sympa sur le bouquin, mais ponctué de fautes d’orthographe ou de grammaire. C’est pas très pro du coup, dommage.
Salut Thomas, tu as tout a fait raison. Je suis pas mal pris par le temps en ce moment.
Si des personnes veulent nous aider… contactez moi.
Osef Thomas, j’te rappelle que l’auteur est canadien, qu’il parle couramment le « franglais » et qu’il n’est pas rémunéré pour écrire ses articles, qu’il a une vie professionnelle à côté. Avoir autant de contenu intéressant à lire sur Trimes c’est bien là l’essentiel.
Bonjour Vincent,
je me permets de réagir sur ta réponse.
Thomas fait juste remarquer que l’absence de fautes aurait rendu l’article encore meilleur. Il dit d’ailleurs que le commentaire du livre est sympa donc inutile de s’offusquer. Par ailleurs, bénévole ou pas, Canadien ou pas (le lecteur de base ne sait pas de quel nationalité est Alexandre, d’ailleurs moi je lis « né à Poissy » donc je dirais Français), ça ne coûte jamais plus cher de ne pas faire de faute. Personne ne lui jette la pierre, au contraire, sa pertinence est louée, il est juste notifié ces coquilles d’orthographe.
Enfin, le fait que Trimes apporte du contenu intéressant n’a strictement rien à voir. C’est bien évidemment vrai, nous sommes tous d’accord, mais n’a aucun rapport avec le commentaire de Thomas. C’est un peu comme si je disais « X a drafté à tel triathlon donc ne mérite pas son titre », et tu me réponds « oui mais il est sympa donc c’est le plus important » -> dialogue de sourd, non-constructif.
Par ailleurs et pour répondre à Alexandre, je suis tout disposé à vous donner un coup de main. je n’ai pas la moindre idée de ce dont vous avez besoin mais je suis à votre dispo donc contactez-moi avec plaisir !