Toute l’Amérique du nord en parle. Specialized Canada a décidé de poursuivre le propriétaire du magasin Roubaix bike shop. Pourquoi? À cause de l’utilisation du mot Roubaix qui est sous le « trademark » de la marque californienne. Cette cause est rapidement devenue très populaire puisque l’accusé est ex-combattant de l’Afghanistan. On spécule que Specialized est surtout contre l’application du mot « Roubaix » sur les roues de l’albertain, Dan Richter et souhaite le stopper afin que ces produits ne passent pas pour des produits Specialized. L’inspiration pour ce choix de nom serait simplement un hommage à la course Parix-Roubaix. D’ailleurs, ironiquement, des nombreuses marques européennes utilisent aussi le mot Roubaix. On se demande d’ailleurs, si la ville n’a pas son mot à dire…
Chez Trimes.org, on doit avouer qu’on aime bien les employés de Specialized Canada qui sont d’ailleurs basés à Montréal et qu’on a tendance à croire que ces décisions vient de la maison mère, il suffit juste d’une personne qui prend une mauvaise décision…
Specialized a une longue tradition d’être très protective face à ses brevets et ses noms enregistrées. Elle a déjà tenté plusieurs procès à cause de l’utilisation de la couleur rouge d’autres marques. Ce qui est étonnant dans ce cas est que Specialized pense que le mot est totalement associé à la marque.
On s’attend à ce que Specialized s’ajuste suite aux nombreuses menaces de boycott.
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Dans un geste assez altruiste, Dan de Slowtwitch a voulu utiliser son forum afin de réhabiliter Michael Weiss. Pourquoi? Parce qu’il considère que c’est un bon gars, qu’il a payé pour ses actes et accessoirement parce qu’il se fait positionner par eux.
Donc, Michael Weiss s’est dit ouvert à répondre aux questions des lecteurs… Oui, mais rien sur le dopage. Il se tourne vers l’avenir et non le passé…
Dans la discussion, ce qui nous a surtout choqué, c’est qu’il s’ai permis d’attaquer les autres pros qui le dénoncent sur twitter en traitant leur attitude de non professionnelle.
Si on aligne les faits, ils voudraient que les pros ne parlent jamais de dopage, et peuvent reprendre la compétition sans rien avouer. À la fin, tout cela ressemble à la fameuse omerta du monde du cyclisme. Il clame toujours son innocence… Et son non aveux pourrait très bien protéger des personnes qui seraient toujours dans son entourage? C’est un schéma assez habituelle. Comme certains pros l’indiquent, revenir à la compétition devrait se mériter. Est-ce que Michael Weiss a offert des pistes pour qu’il est désormais honnête?
Le problème avec le cas de Michael Weiss est qu’on ne parle jamais des fameux avantages perpétuelles qui pourrait bénéficier un ancien dopé. Malheureusement, c’est avant tout la WADA qui doit répondre à cette problématique.
En arrière de la scène, il existe une certaine rumeur qu’il continue à travailler avec Lothar Heinrich (docteur) soit l’ex chef d’orchestre du dopage chez T-Mobile. Il a été condamné pour des preuves datant de 2005. Pourtant, il avait aussi été exclu en 2007 des championnats du monde à d’un taux hématocrite trop élevé.
S’il existe un certain acharnement des pros, on doit se questionner s’ils n’en savent tout simplement plus. Ce qui en demeure navrant est de voir Dan de Slowtwitch continuer à défendre Weiss et qui se permet de bannir ceux qui en savent plus.