AeroBar > Joel Filliol et ses lectures / Pete Jacobs en besoin d’attention? /Nike qui abandonne ses champions

Joel Filliol est l’ancien coach qui était dernière le succès de Simon Whitfield en 2008. Ce succès lui avait permis de prendre la direction HP de Triathlon Grande Bretagne. Il avait claqué la porte tout juste 1 an avant les jeux alors que les deux frères Brownlee dominait déjà la scène. Ulcéré par un milieu trop administratif, il décida de revenir à la source et de créer son propre Squad. Depuis des Findlay, Jones, Molla, Murray ont embarqué avec lui.

Durant les temps des fêtes, Joel a ouvert son nouveau blog, elitecoach.me. On doit vous avouer que c’est rapidement devenu une ressource indispensable pour nous et on se questionne sur ses intentions avec cet outil parce qu’il centralise toutes les lectures indispensables. Elles mettent surtout la lumière sur la différence entre un bon et mauvais coach, dans le sens que de nos jours, il doit avant tout être un étudiant perpétuel du sport et surtout représenter les valeurs qui permettront à ses athlètes d’avancer.

D’ailleurs, David Hauss vient de rejoindre ce squad.

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Les mauvaises langues diront que Pete Jacobs est sous l’influence de Macca. L’ex-champion à Kona vient de poster sur Twitter qu’il veut faire sub 7:30 à Kona en 2014. Même en devenant un Starky en vélo, cela demeure tout simplement impossible…

My goal in 2014 is to cross the Kona finish line in 7hrs 30mins. #aimhigh All the best chasing your dreams in 2014.

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L’américain Nick Symmonds a beau avoir gagné une médaille d’argent au 1500m au récent championnat du monde à Moscou, Nike vient tout simplement de le laisser tomber. Il est pourtant l’un de ses rares athlètes qui a aussi la fibre activiste. L’article nous apprend que son compatriote Leo Manzano qui avait gagné l’argent à Londres en 2012 s’est fait refusé une prolongation avec la marque au Swoosh.

C’est un geste qui reste anodin, mais on peut spéculer que Nike focalise surtout sur l’or et considère ces fameux dauphins comme des faits secondaires. C’est une sorte de politique qui fait mal au sport parce qu’elle fait croire que seul le gagnant a accompli quelque chose. Avec cette mentalité, on vient forcément encourager le dopage.

 

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