Il y a clairement une Alexandra Cassan Ferrier avant et après son inclusion dans le groupe de Laurent Vidal. Les excellents résultats se sont enchaînés en coupe d’Europe pour la pisciacaise.
Elle prendra le départ de sa première coupe du monde. Celle qui a un très grand talent en course à pied pourrait bien jouer les trouble-fêtes. Dans une équipe de France féminine en pleine reconstruction, elle a une belle opportunité à saisir.
L’équipe de France sera aussi composée d’Audrey Merle. La récente médaillée en junior à Edmonton a déjà démontré son habileté en distance olympique. Léonie Periault est aussi une excellente coureuse qui continue son apprentissage et qui avait réussi à décrocher un top 10 en Turquie. Cela ne fait pas de doute que ces 3 jeunes filles vont continuer leur ascension.
Tout comme les hommes, certains cadres de la WTS seront bien présents. Frintova (CZE), Bonin (ITA), Perterer (AUT) et Knapp (ALL) seront les plus attendues. En toute logique, Jernonek (US) et Routier (ESP) seront attendues pour animer la natation.
Nicola Spirig, récente gagnante de Cozumel n’a tout simplement pas perdu un triathlon ITU depuis sa médaille d’or à Londres. Cela sera tout un défi pour celle qui est probablement impatiente de faire son retour en série mondiale.
Côté Canada, Paula Findlay prendra un nouveau départ. Celle qui fait un retour progressif sur le circuit devra démontrer que sa récente 4ème place (Cozumel) est transposable sur distance olympique. Une chose est sûre : la voir prendre le départ de 2 courses à une semaine d’intervalle est déjà un signe très positif.