Blogroll > De Ali a Jo Brownlee // Mola 2024 // Nouvelle génération vue par Sutton.

On vous invite à lire la chronique de Johnny Brownlee dans le journal Metro. Si le petit frère pensait recevoir enfin une validation de son grand frère (Alistair), ce fut de courte durée.

Voici ce qu’il lui a dit après la victoire du relais britannique lors des derniers JOs, « C’était brillant, le meilleur deuxième relais que tu pouvais faire … Tu as eu une brillante carrière olympique, reste que mes medailles d’or comptent pour plus ».

On rappelle que Johnny Brownlee est le premier triple médaillé en triathlon. Dans cet exploit, il a réuni les trois métaux.

Bonus, Johnny vise Paris 2024.


Il n’y a pas si longtemps, 27 ans été vu comme l’âge optimal pour jouer le titre olympique. Et puis il y a eu l’arrivée de la nouvelle génération avec des athlètes comme Alex Yee. Dans les faits, des champions précoces, cela n’est pas nouveau. Il suffit de penser à Vanessa Fernandes.

Et Mario Mola dans tout cela? Il a terminé presque dans l’anonymat avec une 10e place à Tokyo. Si ce résultat n’est pas anecdotique, c’est surtout que son statut faisait en sorte qu’il était attendu sur le podium.

Il a déjà confirmé son intention de retenter sa chance pour 2024.


Évoquer le nom de Brett Sutton, c’est rappeler le passé et une certaine mentalité. Face aux récentes allégations dans d’autres groupes, ce texte est particulièrement intéressant.

Voici un passage qui évoque la difficulté de travailler avec la nouvelle génération. Remarque d’un dépassé? Peut-être un peu tout à la fois.

Parce que, dernièrement, j’ai découvert que les athlètes de cette génération manquent cruellement de la seule chose qui a fait de Caroline une championne. Je n’en ai pas fait une championne, je lui ai fourni un chemin et des conseils pour lui permettre d’exprimer sa plus grande vertu ;
Xena avait de l’attitude face aux chargements de camions.

Le bon type d’attitude; elle n’a pas blâmé les autres, n’a pas blâmé les installations et elle a pris ses responsabilités. Pas seulement pour ses résultats mais pour l’entraînement, sa discipline et son engagement envers les objectifs qui ont rendu ses résultats inévitables.

Xena a eu des hauts et des bas, parfois les bas auraient été ses plus grands triomphes mais pour les officiels, cependant, quand je pensais à Caroline alors qu’elle se préparait pour son deuxième enfant, je me suis souvenu comment elle a pris son plus grand atout et s’est fait une championne.

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