Guerre psychologique: une étude ethnologique (peu) approfondie

Depuis quelques temps déjà et surtout la dernière fin de semaine, j’observe et étudie les triathlètes et leurs attitudes d’avant course. C’est donc avec les observations répertoriées et analysée par les chercheur en ethnologie de Trimes que nous pouvons donc conclure sur les différentes tactiques d’intimidation/guerre psychologique d’avant course selon le pays d’origine de l’athlète. Les résultats (peu pertinents) de cette très (pas) sérieuse étude vous permettra (ou pas) de faire face à n’importe quelle tactique pour vous siphonner votre confiance. Laissez vous porter par ce flot de préjugés et de généralisation.

 

La France: Les français utilisent la tactique la moins subtile pour intimider son adversaire. Elle est assez simple en fait, un entrainement va mieux que celui de son voisin et il s’y met: « J’vais t’battre j’vais t’battre j’vais t’battre j’vais t’battre j’vais t’battre j’vais t’battre j’vais t’battre j’vais t’battre j’vais t’battre j’vais t’battre j’vais t’battre j’vais t’battre j’vais t’battre. » C’est assez drastique et ça marche dans certain cas.

 

La Grande Bretagne: Avoir un nom de famille du genre « Brownlee ». L’incontinence est assez instantanée chez les rivaux… Méthode très efficace.

 

L’Italie: Porter les plus grosses lunettes de soleil avec les verres les plus foncés possible la veille de la course. Cette méthode n’est toutefois plus efficace depuis la sortie de la trilogie de « The Matrix » en DVD édition du collecteur.

 

L’Allemagne: Être allemand. Méthode plutôt efficace.

 

La Chine: Il est très rare que l’on voit des chinois à une course, alors la seule présence de celui-ci nous font parler et l’idée est implantée dans notre cerveau que peut-être il va nous battre.

 

Les Étas-Unis: Être très sympathique et dire que ton entrainement va très bien, avec un beau sourire et une sincérité frappante. Cette technique ne marche pas avec tout le monde, mais si elle fonctionne, elle est la plus efficace de toutes. Tu te dis presque automatiquement que t’es une merde comparé à lui et tu décide de le laisser passer sans difficulté pendant la course.

Le Québec: Le truc, c’est de dire qu’il ne s’es presque pas entrainé et que sa course va être lente. Ainsi, en course, tu te fait dépasser par le tabarnacos et tu te sens merdique le reste de la course. Pour faire la différence entre un québecois qui bluffe et un québecois qui ne s’est réellement pas entraîné, il faut regarder si l’athlète a visiblement pris du poids en gras. La bedaine québecoise ne ment pas, donc soyez vigilant du côté du « Canadian Tire ». Cette technique a une efficacité qui reste floue.

J’espère que ces informations recueillies avec rigueur vous aiderons à garder votre mental d’acier dans toutes les conditions et face à n’importe quel compétiteur. Bonne saison à tous!

Hugo

 

 

 

 

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