Les prix « trimes fort » sont remis à…

Voici la liste des bons et mauvais coups dans la sphère Trimes (Canada et France).

Les personnalités canadiennes favorites de la rédaction.
Rob Watson et Trevor Wurtele.
Deux athlètes en progression constante et qui semblent surtout avoir beaucoup de plaisir à concourir.

Rob Watson a couru 4 marathons cette année. Comment oublier ce moment magique ou il a pris la tête au marathon de Boston puisque personne ne voulait imposer le rythme. Après avoir couru Moscou, il n’a pu s’empécher de faire Toronto et signer un autre 2:13.

Dans le cas de Trevor, alors qu’il était dans cette catégorie de Pros, presque inconnu en 2011 et que sa femme gagnait déjà des courses, en 2012 et 2013, il a commencé à s’imposer et gagne son premier ironman (Canada). Depuis, tout le monde attend ses rapports.

L’inspiration de l’année.
Lionel Sanders
Histoire courte, Lionel était un dépendant aux drogues fortes. Il a désormais trouvé son chemin dans le triathlon. Il bat à Muskoka, Andreas Raelert de 7 minutes en courant son demi marathon en 1:11. Il représente le meilleur espoir canadien dans la longue distance.

Le modèle de l’année qui nous fait aimer le triathlon.
L’équipe de France
. Que ce soit les nouveaux comme Pierre Le Corre ou Coninx, les titulaires comme David Hauss ou Laurent Vidal et les nouveaux retraités comme Tony Moulai, il faut avouer que tous ces athlètes ont une bonne tête. Ils sont tous d’ excellents ambassadeurs avec des valeurs à la bonne place.

Le retour de l’année.
Fred Belaubre. Évidemment, il n’était pas en WTS, mais son retour en FGP et en WC montre une réelle passion pour le sport.

La surprise du chef
Amélie Kretz
Évidemment, vous pouvez nous reprocher notre objectivité dans ce choix. Il en demeure, qu’à sa première année en U23 et donc en distance olympique, elle remporte une coupe du monde, devient championne canadienne U23 et élite et termine 3e au championnat du monde U23.

Mention spéciale à Ellen Pennock et Joanna Brown.

La meilleure décision de l’année.
L’engagement de Libby Burrell comme directeur haute performance à triathlon Canada. Après Londres, les couteaux volaient bas. Depuis l’arrivée de Libby, on a rapidement vu un changement d’attitude et un vent d’optimiste se propager. Depuis, les canadiennes en U23 se sont imposées à Londres et les athlètes ont plus l’impression d’avoir leur chance qu’avant.

Le moment de l’année
Le sprint de Gomez face à Jonny, ce moment magique à sans aucun doute redonné un intérêt à la WTS pour tout ceux qui étaient lassés d’assister à une victoire presque automatique des Browlee.

Mention spéciale à la victoire de Jonny sur son grand frère.

La tactique dont on n’a toujours pas su y trouver un nom.
Le fameux schéma tactique des Brownlee à imposer leur rythme dès le début.

La bonne intention de l’année
ITU Kitzbuehel. Course audacieuse de l’année qui a permis de mettre en avant le fait que les meilleurs sont bien souvent les athlètes les plus complets.

Athlète de l’année
Javier Gomez. Même dans cette période post olympique, il voulait tout gagner.

Révélation de l’année
Non Stanford.

Athlète de l’année longue distance.
Évidemment, en gagnant Kona, Frederik Van Lierde gagne les honneurs, il en demeure que Sebastian Kienle mérite cet honneur à cause de son panache. Il nous a sorti des victoires à l’australienne.

L’année de trop pour
Macca et Crowie. Évidemment, c’est facile de dire tout cela après…

La commandite de l’année.
Eload. Cette marque a très souvent été derrière les meileurs athlètes canadiennes en sport d’endurance.

La problématique qui ne s’améliore pas et dont on n’a plus vraiment envie d’en parler….
Le drafting à Kona chez les amateurs. Selon nous sources. Ce problème continue à être amplifié avec tous ces amateurs qui recherchent absolument le résultat afin d’obtenir plus d’aide. À force, on voit des amateurs qui ont des carrières plus lucratives que des pros et, qui sont plus en retrait mais avec des meilleures temps. On est d’ailleurs totalement dans le faux à vouloir comparer les performances des pros et des amateurs surtout que pros ne signifie pas qu’ils sont totalement dédiés aux triathlons. Nombreux ont aussi un travail à coté.

L’organisateur québecois de l’année.
Magog. C’est l’équipe qui semble la plus concernée à accueuillir l’élite canadienne. Après avoir reçu une PAN AM en 2012 et les jeux du Canada en 2013, leur intérêt à faire des courses pour les élites est toujours là. Ils sont d’ailleurs les seuls à ofrrir une stabilité dans ces intentions.

L’organisateur canadien de l’année.
Comme toujours, le marathon waterfront de Toronto. Capable de traiter égalitairement les élites et les participatifs. À chaque année, cette course s’améliore. À force, on voudrait voir Alan devenir ministre des sports.

L’avancée technologique de l’année.
L’ouverture des fabricants des home-trainers à ouvrir leur plateforme logiciel à l’ANT+. L’inclusion de l’ANT+ directement dans les téléphones cellulaires (nouveauté chez Samsung).

Matériel de l’année.
Tous les powermètres en dessous de la barre des 1000$. Soit powertap, Stage et surtout Power2max. Ceux sont les seuls qui ont fait des efforts à baisser leurs prix. Généralement, on a vu l’industrie préférer ajouter des fonctions afin de garder une constance dans ses prix.

La 2e surprise du chef (organisation)
Ironman Mont Tremblant 70.3 qui accueillera les championnats du monde. Soyons honnète, on n’est pas totalement convaincu que ce soit le meilleur choix par contre, c’est sans aucun doute l’organisation qui les voulaient le plus.

À égalité, Edmonton qui accueillera la grande finale ITU. Il faut avouer qu’on ne l’a pas  vu arriver.

La rumeur de l’année
Une WTS très proche de la maison. On arrète, on en a déjà trop dit.

La rumeur de l’année qui nous a énervé
Encore une fois, Kona n’y a pas échappé. La perte de poids de certains athlètes et le forfait d’athlètes tout juste avant le départ favorise la spéculation… On n’a pas d’avis clair, peur d’être trop ou pas assez naïf.

La déception de l’année (athlète)
Le contrôle positif de Virginia Berasategui. Cette athlète étant sur le pool de la WTC, on peut se questionner sur son contrôle positif dans un test après course où elle ne pensait pas être contrôlée.

L’Agence anti dopage britannique a d’ailleur décidé de ne plus suivre les athlètes en longue distance. Depuis, on se questionne vraiment s’il y a vraiment une volontée à démasquer les tricheurs.

La déception de l’année (organisation).
L’abandon de plusieurs courses PAN AM en Amérique du nord. La saison 2013 a été très particulière et on se demande s’il est vraiment possible de développer des athlètes sur le continent.

La chanson de l’année

Livre de l’année
Le livre des Brownlee. Presque trop honnête et arrogant.

 

 

 

 

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